Comment la presse subventionnée cache le gros raté de Le Maire aux USA

De façon tout à fait impressionnante, le cartel de la presse subventionnée vient de mésinformer (par omission) le public français en ne pipant pas un mot de la désastreuse visite de Bruno Le Maire aux Etats-Unis, prétendument pour montrer aux agents de l’Empire sa puissante musculature supposée les dissuader de pratiquer le protectionnisme écolo-industriel. Voilà un bel exemple de la servitude profonde d’une presse qui se prétend « sérieuse », et qui se contente d’être au service du pouvoir. Dans la pratique, l’Europe est en train de se faire écraser par l’Inflation Reduction Act (IRA) qui devrait contribuer à un nouvel épisode de désindustrialisation massive… et nos gouvernants, quoiqu’en disent les pisse-copies qui leur cirent les pompes aux frais du contribuable, sont absolument incapables d’y répondre.

Pendant que les électeurs de Macron s’entre-déchirent pour savoir s’il faut « leur voler deux années de vie » ou non, la planète continue à tourner… et pas forcément dans le sens qui arrange ceux qui défilent dans les rues. Car on peut imaginer que l’économie se décide et se fabrique à coup de lois et d’injonctions, la réalité est un peu différente. On en veut pour preuve le désastreux voyage de Bruno Le Maire aux Etats-Unis, qui vient de déboucher une fois sur du vent et de la poudre de perlimpimpin complaisamment dispersée par le cartel de la presse subventionnée.

Le Maire va jouer les gros bras en Amérique
Pour mémoire, les industriels français ont des sueurs froides depuis que le délicieux Joe Biden, l’ami de l’Europe, de la démocratie et de la paix dans le monde, nous a planté un couteau entre les omoplates avec son Inflation Reduction Act, qui ne réduira pas l’inflation, mais impose un véritable protectionnisme américain. On se souvient que le cartel des médias subventionnés a quotidiennement vomi en France sur Trump le méchant protectionniste. Curieusement, Biden, qui fait bien pire, n’a droit à aucune critique de la part des journaleux arrogants qui nous donnent des leçons permanentes sur la déontologie journalistique et dressent la liste, comme des miliciens sous Vichy, des complotistes qui ne servent pas la soupe à Macron.

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