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https://www.ouest-france.fr/sport/football/equipe-argentine/coupe-du-monde-le-president-argentin-alberto-fernandez-n-ira-pas-au-qatar-pour-la-finale-95130e38-7e53-11ed-9d68-6024f01da5c4
Le président argentin Alberto Fernandez a fait savoir qu’il ne se rendrait pas au Qatar pour assister à la finale du Mondial entre l’Argentine et la France. Il a sous-entendu un facteur superstition, par lequel il ne voudrait pas porter la poisse à la sélection.
Le président argentin Alberto Fernandez a fait savoir samedi 17 décembre qu’il ne se rendrait pas à la finale Argentine – France, contrairement à son homologue français Emmanuel Macron, suggérant entre les lignes un facteur superstition, par lequel il ne voudrait pas porter la poisse à la sélection.
« Les cabales sont les cabales »
« Comme des millions de compatriotes, je vais profiter de la finale de la Coupe du monde à la maison », a écrit le président de centre-gauche dans un tweet. « Je vivrai ce moment fantastique comme je l’ai fait jusqu’à maintenant, avec les miens », ajoute-t-il, précisant que l’Albiceleste aura déjà tout ce qu’il faut sur place. « Les meilleurs des nôtres seront sur le terrain, et dans les tribunes de glorieux supporters ».
« Et puis, les cabales sont les cabales », conclut-il avec un clin d’œil, en référence aux « cabalas », ces rites superstitieux, extrêmement prévalents chez les Argentins en matière de football, qui consistent à reproduire scrupuleusement une formule, un geste, une habitude, qui a été associé à la victoire, en l’occurrence les cinq victoires consécutives de l’Albiceleste.
S’y ajoute une hantise des politiciens argentins d’être perçus comme « mufa » (porte-poisse), en assistant à un match important qui serait perdu. Le prédécesseur de M. Fernandez, le libéral Mauricio Macri (2015-2019), s’est ainsi vivement défendu ces derniers jours d’accusations sur les réseaux sociaux d’être « mufa ».
Le président argentin Alberto Fernandez a fait savoir samedi 17 décembre qu’il ne se rendrait pas à la finale Argentine – France, contrairement à son homologue français Emmanuel Macron, suggérant entre les lignes un facteur superstition, par lequel il ne voudrait pas porter la poisse à la sélection.
« Les cabales sont les cabales »
« Comme des millions de compatriotes, je vais profiter de la finale de la Coupe du monde à la maison », a écrit le président de centre-gauche dans un tweet. « Je vivrai ce moment fantastique comme je l’ai fait jusqu’à maintenant, avec les miens », ajoute-t-il, précisant que l’Albiceleste aura déjà tout ce qu’il faut sur place. « Les meilleurs des nôtres seront sur le terrain, et dans les tribunes de glorieux supporters ».
« Et puis, les cabales sont les cabales », conclut-il avec un clin d’œil, en référence aux « cabalas », ces rites superstitieux, extrêmement prévalents chez les Argentins en matière de football, qui consistent à reproduire scrupuleusement une formule, un geste, une habitude, qui a été associé à la victoire, en l’occurrence les cinq victoires consécutives de l’Albiceleste.
S’y ajoute une hantise des politiciens argentins d’être perçus comme « mufa » (porte-poisse), en assistant à un match important qui serait perdu. Le prédécesseur de M. Fernandez, le libéral Mauricio Macri (2015-2019), s’est ainsi vivement défendu ces derniers jours d’accusations sur les réseaux sociaux d’être « mufa ».
« Allez les Bleus ! »
Présent au Qatar -au titre notamment de président de la Fondation FIFA caritative, M. Macri a assisté à plusieurs matches, dont la défaite choc inaugurale de l’Argentine contre l’Arabie saoudite (1-2). D’où le soupçon de « mufa ». Infondé semble-t-il, puisque l’Argentine n’a pas cessé de gagner ensuite. Jeudi, Alberto Fernandez et Emmanuel Macron avaient échangé des tweets amicaux à l’approche de la finale, le dirigeant sud-américain avouant souhaiter le meilleur à son homologue français « sauf dimanche ».
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