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https://www.epochtimes.fr/etats-unis-des-infirmieres-qui-ont-quitte-leurs-hopitaux-pour-se-consacrer-aux-traitements-precoces-decrivent-la-brutalite-des-protocoles-lies-au-covid-19-2091806.html
Ces protocoles requièrent une "incroyable dissonance cognitive"
Bien des infirmières ont été les témoins de protocoles hospitaliers « brutaux » pour traiter le Covid‑19. Des protocoles qui ont conduit à la mort des patients. Elles dressent un tableau sombre de la situation qui prévaut dans les hôpitaux publics américains.
« Ils sont horribles, et ils y vont tous au pas de course », déclare à Epoch Times Staci Kay, une infirmière praticienne de l’association North Carolina Physicians for Freedom. Elle a quitté le système hospitalier pour ouvrir son propre cabinet privé de traitement précoce. « Ils n’envisagent pas de protocoles en dehors de ceux qui leur sont dictés par les CDC (Centres de contrôle et de prévention des maladies) et les NIH (Instituts nationaux de la santé). Et personne ne demande pourquoi. »
Le bon sens écorché au milieu d’un ensemble de signaux inquiétants, Mme Kay explique que le personnel hospitalier ignorait le fait que certains traitements étaient manifestement problématiques, avec des résultats lamentables lors des essais cliniques. C’était le cas du remdesivir, ou des protocoles tels que l’isolement du patient, appliqué dans l’unique but de respecter les règles fédérales.
« J’ai vu des gens mourir sous les yeux de leur famille via iPad sur Facetime », se souvient l’infirmière. « C’était brutal. »
En tant qu’ancienne infirmière en soins intensifs, Mme Kay a vu sa part de tragédies, mais le traitement réservé aux patients Covid‑19 l’a particulièrement marquée : « Ça m’a fait me réveiller au milieu de la nuit en sueur froide avec des douleurs thoraciques. »
« Je détestais mon travail. Je détestais aller au travail. J’étais stressée comme je ne l’avais jamais été de toute ma vie. »
Maintenir les familles isolées était particulièrement difficile, dit‑elle, car les gens ne pouvaient pas venir dire au revoir à leurs proches.
« Nous pouvons faire mieux »
Mme Kay cherchait d’autres options lorsqu’elle a trouvé un protocole pour patients hospitalisés conçu par le Dr Paul Marik, membre fondateur de la Front Line COVID‑19 Critical Care Alliance, qui annonçait un taux de réussite de 94%.
Cependant, après avoir présenté l’idée au chef du service des soins intensifs pulmonaires, Mme Kay a été congédiée, et le médecin s’est vanté des 66% de chances de survie que l’hôpital offrait à l’époque.
« Je lui ai dit : ‘J’ai l’impression que nous pouvons faire mieux’, mais il m’a très vite fait taire », se souvient l’infirmière. « J’étais en colère en voyant les gens mourir. Je savais que nous pouvions faire mieux. »
C’est comme si des personnes autrefois intelligentes avaient subi un lavage de cerveau, « puis étaient devenues tout simplement stupides », explique Mme Kay, privées de la capacité mentale nécessaire pour discerner le vrai du faux.
Cela a conduit Mme Kay à traiter des patients en consultation externe pour éviter qu’ils ne soient admis dans le système hospitalier, ce qui est maintenant son travail à plein temps après avoir été licenciée pour ne pas s’être soumise à ce qu’elle décrit comme des exigences illogiques en matière de tests pour ceux qui n’étaient pas vaccinés.
Dans son activité de télémédecine, Mme Kay a constaté de nombreux cas de personnes victimes de séquelles causées par le vaccin Covid‑19.
« J’ai aussi vu des choses chez des patients hospitalisés que je soupçonnais être des effets secondaires des vaccins, mais qui n’ont pas été reconnues par nos médecins. J’ai vu des hémorragies cérébrales, des crises d’épilepsie venues de nulle part, des cancers qui se sont répandus comme une traînée de poudre, des accidents vasculaires cérébraux ischémiques, et j’ai vu une personne mourir de façon horrible d’une myocardite. »
En ce qui concerne les patients externes, elle dit avoir observé des troubles dus au vaccin Covid‑19, tels que le brouillard cérébral, le déclin cognitif, des douleurs articulaires, des dysfonctionnements gastro‑intestinaux et de la neuropathie, qui se traduit par des engourdissements et des picotements dans les mains, les pieds et les extrémités.
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