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https://reseauinternational.net/impact-reel-des-vaccins-anti-covid-en-population-generale-et-sur-les-enfants/
par Jean-Dominique Michel
Dans ce quatrième volet du colloque « Corruption et fraude au cours de la crise Covid depuis 2020 », Emmanuelle Darles, docteur en informatique, membre du Conseil scientifique indépendant, analyse les données de pharmacovigilance relatives aux injections géniques expérimentales présentées comme « un vaccin comme les autres ».
Cette fraude nominale se double hélas d’un terrible mensonge quant à leur innocuité. « Sûr et efficace » une formule de neuro-marketing, tout comme celle de « dangereux et inefficace » attribuée fallacieusement à l’hydroxycholoquine et même à l’ivermectine, deux des remèdes les plus sûrs de toute la pharmacopée. À peu près rien des messages qui circulent et ont circulé au cours de la « crise sanitaire » n’échappe à une ingénierie sociale performante et éprouvée…
S’étant penchée avec son collègue du CSI, le mathématicien-chercheur Vincent Pavan, sur les données des systèmes VAERS (Etats-Unis) et EudraVigilance (Union européenne), Emmanuelle Darles aboutit à un constat tout sauf rassurant. Seul, une nouvelle fois, un camouflage éhonté des données et une communication mensongère auront pu adresser à la population un message aussi éloigné de la réalité et aussi trompeur.
Le Pr Peter McCullough, un des cardiologues les plus cités dans la littérature scientifique, ne cesse d’alerter sur cette question aux États-Unis, comme tout récemment encore dans un épisode de la série documentaire Propaganda Uncovered :
« La FDA (l’agence états-unienne de régulation des médicaments, NdT), je veux que tout le monde le comprenne, donc NOS propres agences gouvernementales sont impliquées dans une opération de camouflage de sécurité biologique des décès après vaccination Covid.
Certains dus à des myocardites, d’autres à cause de caillots de sang fatals, d’autres à cause de réactions allergiques, la plupart des décès arrivent moins de 2 jours après l’injection.
Comme ces deux garçons dans l’État du Connecticut.
Un exemple avec Ernesto Ramirez. Un père célibataire avec un enfant de 16 ans. Il a peur du Covid et ne sait pas quoi faire. Il y a la propagande autour de lui. Que fait-il ?
Il fait l’injection en premier pour s’assurer qu’il n’y a pas de problème. Rien d’anormal, donc il dit à son fils de le faire. Son fils le fait et meurt d’une myocardite. J’ai vu le rapport d’autopsie.
Qu’a t’il fait ensuite ? Il a réagi et a dit à l’Amérique que son fils est mort du vaccin. On lui a proposé de l’argent pour la fermer (qu’il a refusé).
Il y a un camouflage des décès après la vaccination. »
Ainsi va le monde en 2022. En attendant, la liste des condamnations des laboratoires pharmaceutiques pour fraude, falsifications de données, homicide et corruption, ne cesse de s’allonger et les amendes cumulées depuis l’an 2000 aux États-Unis uniquement d’augmenter. Alors que ce montant était de US$ 56 milliards en 2020, il est à l’heure actuelle de US$ 94’344’937’209.- pour un total de 1032 condamnations. Pour Pfizer uniquement, de US$ 10’268’633’525.- pour 91 crimes et délits. Tout ceci sans compter les plus que probables futures condamnations liées aux injections anti-Covid étant donné la somme de fraudes ayant été mises en avant pour « justifier » leur mise sur le marché…
C’est une affaire qu’il faudra suivre hélas dans la durée. Tout ceux qui ont encouragé la propagande des « vaccins sûr et efficaces » ont du souci à se faire…
Emmanuelle Darles et Vincent Pavan ont présenté les résultats de leurs recherches ce printemps au Sénateur Cédric Villani, alors président de l’OPECST (Office Parlementaire pour l’Évaluation des Choix Scientifiques et Technologiques). Celui-ci a refusé de rendre publique cette audition et couvert les données qui suivent, engageant lourdement sa responsabilité quant aux dommages qui auront pu en résulter.
Le British Medical Journal, je l’ai souvent rappelé, avait énoncé haut et fort en novembre 2020 que :
« La science est actuellement réprimée pour des raisons politiques et financières. Le Covid-19 a déclenché la corruption de l’État à grande échelle, et elle est nuisible à la santé publique (…)
La politisation de la science a été déployée avec enthousiasme par certains des pires autocrates et dictateurs de l’histoire, et elle est maintenant malheureusement monnaie courante dans les démocraties. Le complexe médico-politique tend à supprimer la science pour engraisser et enrichir ceux qui sont au pouvoir.
Et, à mesure que les puissants deviennent plus prospères, plus riches et plus intoxiqués par le pouvoir, les vérités dérangeantes de la science sont supprimées. Lorsque la bonne science est supprimée, les gens meurent. »
Tous les termes de constat semblent hélas bel et bien réunis. C’est ce que suggère fortement le travail qui suit.
Ces colloques ont été organisés par Ariane Bilheran et Vincent Pavan, avec le soutien de la LNPLV, le SLS, Réinfoliberté, Enseignement Recherche Libertés. Ils ont aussi bénéficié de l’aide de collectifs bénévoles et associatifs, et tous les conférenciers sont bénévoles tant pour la préparation des conférences, le temps passé en voyage et interventions, mais aussi le montage des vidéos et la réalisation des actes du colloque.
Un remerciement également à Epoch Times France, La Chaîne Humaine et Kairos, pour la couverture médiatique de ces événements.
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Pharmacovigilance : Impact des « vaccins » anti-covid en population générale et sur les enfants
https://reseauinternational.net/impact-reel-des-vaccins-anti-covid-en-population-generale-et-sur-les-enfants/
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