Incendie de Notre-Dame : vers un non-lieu !

C’est une révélation qui devrait faire du bruit !

15 avril 2019.

La cathédrale de Notre-Dame de Paris brûle. Le monde entier a les yeux rivés sur la France, une fois encore, pour des raisons catastrophiques…

17 août 2022.

L’enquête (?) suit son cours et l’issue semble inévitable…

… un non-lieu devrait être annoncé d’ici quelques semaines !

Une enquête, quelle enquête ?
Trois magistrats sont aujourd’hui en charge de l’enquête sur l’incendie de Notre-Dame.

Mauvaise électrification du site, mégots de cigarette, protection anti-incendie défaillante, acte malveillant…

Les raisons évoquées au moment des faits étaient nombreuses. Dès le lendemain du drame, une enquête préliminaire était ouverte, avec force motivation pour trouver la cause de ce drame absolu.

Pourtant, très vite, la première piste qui retient l’attention est écartée.

Il ne peut pas s’agir d’un acte criminel d’après les enquêteurs. Au mieux, des « dégradations involontaires par incendie, par violation manifestement délibérée d’une obligation de prudence ou de sécurité« , comme le sous-entend l’information judiciaire ouverte le 26 juin 2020.

Des négligences, pas plus, qui déclenchent des flammes diaboliques détruisant une grande partie d’une cathédrale debout depuis plusieurs siècles et qui résista à bien des tracas…

La décision parfaite pour ne pas entraver les travaux ?
Comme le révèle Le Canard Enchaîné du 17 août 2022, un magistrat du parquet est formel : « Le dossier va être classé car il nous est impossible de savoir si c’est la piste du mégot ou celle du court-circuit électrique qui est la bonne.«

Avant d’ajouter, clou du spectacle : « S’il y avait eu des victimes, la situation serait différente, il y aurait des mises en examen. Mais, là, que voulez-vous, il n’y que des dommages matériels…«

Dans ce cas, tout va bien !