Source
https://www.francesoir.fr/entretiens/la-fin-d-un-mythe-si-c-est-un-virus-pas-d-antibiotique-interview-du-dr-claude-escarguel
« Toute vérité franchit trois étapes : D’abord, elle est ridiculisée. Ensuite, elle subit une forte opposition. Puis, elle est considérée comme ayant été une évidence ». Citation apocryphe
La recherche sur l’aide apportée par les bactéries au développement des virus, une sorte de « collaboration » qui permet au virus de se répliquer dans le corps humain, a démarré lorsque le Pr Luc Montagnier découvrit, en 1990, un germe de type Mycoplasme dans une cellule d’un malade séropositif au VIH (germe intracellulaire) (1). Cette coopération entre bactéries et virus est appelée « mécanisme bactériophage-like ».
En 1992, cette découverte fut confirmée in vitro par une équipe de chercheurs français (C. Escarguel, G. Papierok, G. Pautrat) spécialisés dans les germes intracellulaires (2) et fit l’objet d’un brevet n° FR2694022 (A1), le 28 janvier1994.
En 1998, elle fut corroborée par une étude in vivo de l'équipe française de l’Association Biologie et Coopération (C. Escarguel, P. Lepere et C. Pelissier) (3).
D’après les résultats obtenus par de nombreux médecins traitant les patients en ambulatoire précoce et par les publications de C. Escarguel, la pandémie de Covid-19 a offert l’occasion de mettre ce mécanisme en évidence dès le début de l'année 2020, en constatant l’efficacité de certaines familles d'antibiotiques (macrolides, cyclines, clofoctol, rifaximine), ces derniers neutralisant les bactéries « coopérantes » avec le virus.
Aujourd’hui, les observations de l’équipe du Dr Carlo Brogna du laboratoire italien CRANIOMED, viennent une nouvelle fois de montrer la justesse de la découverte du Pr Luc Montagnier.
FranceSoir : En quoi cette nouvelle confirmation par le Dr Carlo Brogna de l’existence des bactéries « coopérantes » à la réplication d’un virus dans le corps humain est-elle déterminante ?
C. Escarguel : Malheureusement, les confirmations, en 1992 et en 1998, de la découverte du Pr Montagnier et les excellents résultats des traitements précoces contre le Covid-19 qui ont sauvé de nombreuses vies, n’ont pas suffi à convaincre la communauté scientifique et les responsables de la gestion de la pandémie de Covid-19 de l’efficacité de ces traitements ainsi que de la nécessité de les généraliser au plus vite.
Dès lors, les observations du Dr Brogna remettent d’importantes questions sur la table :
Pourquoi les responsables de la gestion de cette pandémie ont-ils refusé de prendre sérieusement en considération les découvertes du Pr Montagnier et nos travaux scientifiques de 1992 et de 1998, alors que nous n’avons cessé de les alerter depuis le mois de mars 2020 ? C’est-à-dire depuis les publications de l'IHU de Marseille sur la bithérapie (à base d'hydroxychloroquine et d'azithromicyne) avec qui nous sommes en désaccord sur la molécule efficace.
Pourquoi l’information sur la réussite des traitements précoces n’a-t-elle pas été diffusée massivement par les autorités et par l’Ordre des médecins ?
Pourquoi les médecins qui soignaient se sont-ils vus interdire l’utilisation des traitements précoces et pourquoi ont-ils fait l’objet de procédures disciplinaires pour les avoir prescrits ?
Pourquoi le paracétamol, le rivotril, puis les injections de substances géniques expérimentales ont-ils été préférés aux traitements qui soignaient ?
Pourquoi les dizaines de courriels que nous avons envoyés aux autorités sanitaires, à l’Ordre des médecins et au pouvoir politique sont-ils restés lettre morte ?
Pourquoi Emmanuel Macron en sa qualité de président de la République française n’a-t-il pas réussi à vaincre « le système » qu’il évoque dans son courriel envoyé à l'ancienne ministre de la Culture Françoise Nyssen, le 5 février 2021 et que celle-ci nous a réexpédié tel quel ?
Le : 05 février 2021 à 21:24 (GMT +01:00)
De : "Francoise NYSSEN" f.nyssen@actes-sud.fr
À : xxxxxxxxx
Objet : RE: courrier au Président
Et son retour immédiat
« Formidable. Je crois beaucoup à cela vraiment depuis longtemps mais « le système » y croit trop peu c’est fou
Je m’en saisis. Merci. Je vous embrasse »
Maintenant, il reste à espérer que les observations visuelles par microscopie électronique de l’équipe du Dr Carlo Brogna du laboratoire italien CRANIOMED, qui confirment aussi bien la découverte du Pr Montagnier que nos travaux de 1992 et de 1998, ouvriront, dans les prochaines années, la voie à la recherche de la vérité et, donc, à la réponse aux questions qui précèdent.
À la suite des observations du Dr Carlo Brogna, l'autre question importante qui demeure est celle de la réponse à la priorité de l'OMS : « La prévention des chocs septiques des viroses respiratoires (grippe, bronchiolites, coronaviroses, etc.) par le traitement ambulatoire précoce paradoxal » (cf. antibiotique adapté).
FS : En quoi les observations du Dr Carlo Brogna et de ses équipes représentent-elles une confirmation de l’utilité d'un traitement contre les virus de type Covid-19 ?
C. Escarguel : Les récents travaux de l'équipe de recherche du laboratoire CRANIOMED, dirigée par le Dr Carlo Brogna avec qui nous collaborons, confirment la piste des bactéries « coopérantes » (4-5). Cette coopération est illustrée par un mécanisme appelé « bactériophage-like », qui provoque la libération de toxines bactériennes lors de la lyse bactérienne. Ces toxines (6) agissent de façon concomitante à l'action du virus SARS-CoV-2 et de sa protéine Spike sur le SRA (système rénine – angiotensine).
Les photographies réalisées par le laboratoire CRANIOMED avec un microscope à transmission électronique (TEM) illustrent le phénomène :
En A-B et C, on observe diverses bactéries avec parois (bactéries gram+ et gram-) et sans parois (mycoplasme et forme L).
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