Source
https://www.lelibrepenseur.org/larnm-des-injections-covid-19-peut-se-retrouver-dans-ladn-humain/
Autre grand mensonge covidiste qui s'effondre...
Nous en avons déjà parlé, c’est un énième pilier de la propagande covidiste qui s’est effondré, celui qui consistait à affirmer qu’il n’y avait absolument aucun risque que l’ARN messager des injections se retrouve retranscrit dans l’ADN humain. En réalité, encore une fois, ils n’en savaient absolument rien puisqu’ils n’avaient pas assez de temps pour l’étudier. Sauf que maintenant, nous le savons, une étude suédoise a été publiée comme vous pouvez le constater dans le lien de source ci-dessous, qui vient de conclure le plus simplement du monde que l’ARN messager se retrouve in vitro dans des cellules humaines hépatiques.
C’était pourtant facile à imaginer, injecter 40 milliards de brins d’ARNm à plusieurs reprises ne pouvait que conduire à ce genre de résultat. Étant donné la vitesse avec laquelle le sang circule, vu que le corps humain a la capacité de retranscrire l’ARN messager dans l’ADN, ça n’a pas manqué.
Pendant que nous affirmions qu’il était absolument dangereux d’injecter ce type de produit sans aucun recul minimum, la Doxa nous avait traité de « complotistes et « d’antivax » ! Vous pouvez lire ci-dessous capture écran du site de l’Inserm, contenant un article actualisé au 6 décembre 2021, qui affirme « avec certitude » qu’il n’y a aucun risque de transformer notre génome ou de le transmettre à notre descendance ! Il affirme que nous avons 30 ans de recul alors que c’est totalement faux et que l’ARN messager reste localement au niveau du bras alors qu’il n’en savait absolument rien. De plus, malgré la publication de ces travaux, aucune mise à jour n’a été réalisée sur leur site.
Pour aller plus loin, dès le mois de décembre 2020, une étude a démontré que l’ARN messager du virus SARS-CoV-2 se retrouvait intégré dans l’ADN cellulaire, ce qui expliquerait selon les chercheurs la positivité des tests PCR longtemps après l’infection. Il suffit que la rétro transcriptase transforme l’ARN messager en ADN puis ce dernier peut réintégrer le noyau cellulaire.
Encore une fois, c’est la preuve que ce sont des institutions officielles qui diffusent de fausses informations, des fake niouzes, afin de valider systématiquement la Doxa et les communiqués de presse de l’industrie. Ils ont depuis longtemps vendu leur âme au diable, ils ne font plus de la science, ils sont à la solde de Big Pharma. Immédiatement, un article des propagandistes de l’AFP sera publié pour nier cette réalité car bien entendu, ses pigistes sont beaucoup plus compétents que les chercheurs qui ont publié l’étude alors qu’il n’y a à peine d’un an, ils ne savaient même pas ce qu’était un essai clinique !
Petit à petit, avec le temps, tous les piliers de la Doxa covidiste s’effondrent sous nos yeux. Celui de l’origine du virus s’est totalement désintégré, plus personne ne croit l’origine animale. Concernant les vaccins efficaces contre la contagiosité, c’est terminé. Nous savons maintenant que les effets indésirables sont très nombreux et gravissimes : cycles menstruels perturbés, péricardites, myocardites, paralysies, fausses couches… Maintenant, on sait également que l’ARN messager se retrouve intégré dans l’ADN humain contrairement aux affirmations des morticoles.
https://www.lelibrepenseur.org/larnm-des-injections-covid-19-peut-se-retrouver-dans-ladn-humain/
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