Le Washington Post demande aux Américains de manger des insectes car ils ne peuvent plus se permettre les traditionnels dîners de saison

« Les consommateurs peuvent déjà trouver des aliments comme des fourmis salées sur Amazon et des barres protéinées en poudre de grillons dans les épiceries. »

Le Washington Post a conseillé dimanche aux Américains de se tourner vers la consommation d’insectes au lieu du traditionnel dîner de saison, qui est désormais inabordable pour un quart des familles.

Oui, vraiment.

Dans un article intitulé Fourmis salées. Grillons terrestres. Pourquoi vous devriez essayer les insectes comestibles, le Post déclarait : « Les consommateurs peuvent déjà trouver des aliments comme des fourmis salées sur Amazon et des barres protéinées à base de poudre de grillons dans les épiceries suisses. »

Yummmmm, des fourmis.

L’article cite une fillette de six ans en Pennsylvanie qui aurait reçu une ovation enthousiaste des spectateurs pour avoir mangé des vers frits.

L’article dit : « Ce n’est pas si mal ! » s’est-elle exclamée. « Ça a un peu le goût du pop-corn ! »

Il y a les conneries habituelles sur le fait que les grillons ont plus de protéines que le bœuf et que tout le monde dans les pays du tiers monde en mange déjà, pourquoi c’est meilleur… etc…

« Regarder les autres apprécier les insectes peut aussi aider à faire tomber les barrières », peut-on lire dans l’article sous le titre « Créer une nouvelle norme ».

L’article précise qu’« avant que les insectes ne deviennent un plat courant, il faut convaincre un plus grand nombre de convives que les créatures à six pattes sont, en fait, de la nourriture. Par le biais d’expériences de dégustation, d’enquêtes et de démonstrations éducatives, les chercheurs, les entrepreneurs et les éducateurs étudient la psychologie des consommateurs et constatent que la résistance à la consommation d’insectes peut être forte ».

Pas possible !

On ne va pas manger des putains d’insectes.

C’est la dernière en date d’une tendance croissante à pousser la consommation d’insectes sur les masses comme un moyen de « sauver la planète ».

Une grande chaîne de supermarchés au Royaume-Uni met la dernière main à son projet de stocker des insectes dans ses rayons et de les commercialiser comme une source de nourriture bon marché pour les personnes qui ont du mal à nourrir leur famille dans un contexte d’inflation galopante et de crise du coût de la vie.

Le Daily Mail a récemment rapporté qu’Aldi envisageait de stocker des insectes « comestibles » et de fournir des kits de recettes permettant aux parents de préparer des vers et des grillons pour leurs enfants affamés.

Parmi les produits potentiels de la gamme figurent des hamburgers de grillons « durables », ainsi que des « nuggets » et des « hachis ».

Alors que vous pensiez que cette situation ne pouvait pas être plus dystopique, le supermarché participe à un jeu télévisé dans lequel des « éleveurs » d’insectes présenteront ces derniers comme la « prochaine grande affaire » d’Aldi, selon le rapport.

Récemment, l’entreprise canadienne The Aspire Food Group s’est engagée à produire 9000 tonnes d’insectes par an pour la consommation humaine et animale après avoir achevé la construction du plus grand centre de transformation alimentaire de grillons au monde.

Outre les grillons, les vers et les asticots sont également très populaires en Europe.

Que diriez-vous d’une salade de mauvaises herbes ? Et pourquoi ne pas faire descendre votre nourriture aux vers avec un grand verre rafraîchissant d’eaux usées ?

En 2020, le Forum économique mondial a publié deux articles sur son site web qui exploraient comment les gens pourraient être conditionnés pour s’habituer à l’idée de manger des mauvaises herbes, des insectes et de boire de l’eau d’égout afin de réduire les émissions de CO2.

Un autre article publié sur le site du FEM explique comment conditionner les gens à aimer consommer des « aliments » qui, à première vue, semblent dégoûtants.

La « Grande Réinitialisation » consiste à mettre en œuvre une réduction drastique du niveau de vie de la plèbe, ce qui l’obligera à mettre les insectes, les mauvaises herbes et les eaux usées au menu, tandis que les élites de Davos continueront à se régaler de la meilleure cuisine dans leur tour d’ivoire.