Source
https://www.epochtimes.fr/apres-une-infection-au-covid-ou-un-vaccin-la-proteine-spike-perturbe-limmunite-de-millions-de-personnes-voici-quelques-traitements-2145419.html
De multiples études ont démontré que la protéine spike du SRAS‑CoV‑2 a des effets toxiques et inflammatoires et peut entraîner diverses pathologies.
La présence de la protéine spike a été fortement corrélée au Covid long et à des symptômes post‑vaccination. Des études ont montré que les protéines spike sont souvent présentes chez les patients symptomatiques, parfois même des mois après une infection.
Le nombre de personnes atteintes du Covid long et de symptômes post‑vaccinaux augmente de par le monde, posant un problème de santé publique grandissant. Pour certains, l’affaiblissement est tel qu’ils ne sont pas en mesure de travailler. Le même phénomène a été rapporté chez des personnes souffrant de symptômes post‑vaccinaux.
Les statisticiens signalent que les personnes souffrant de syndromes post‑vaccinaux sont certainement beaucoup plus nombreuses que celles qui ont pris le temps de faire part de leur complications sur les diverses plateformes de signalement d’effets secondaires liés aux vaccins.
Jessica Rose, spécialiste canadienne en biologie moléculaire a fait une estimation sur la base du nombre de cas remontés sur le VAERS, le système de signalement américain. Elle a calculé que le nombre réel de personnes souffrant de syndromes post‑vaccinaux aux États-Unis était probablement 31 fois plus élevé que celui signalé sur la plateforme.
« Les victimes de la vaccination sont très nombreuses », a déclaré le Dr Pierre Kory le 15 octobre lors d’une conférence de la FLCCC (Front Line COVID‑19 Critical Care Alliance).
« Les chiffres sont énormes (…) [Ces victimes] ont peu accès aux soins et leurs besoins ne sont pas satisfaits. »
Cependant, de nombreux médecins cherchent à faire évoluer les choses. La FLCCC a été toujours été en première ligne pour mettre au point divers traitements contre le Covid‑19, le Covid long et les symptômes post‑vaccinaux.
Aucune étude à grande échelle n’a été réalisée sur le traitement des symptômes post‑vaccinaux. Sur la base d’observations cliniques, de témoignages de patients et de recherches approfondies, la FLCCC a publié une mise à jour de ses recommandations de traitement.
Le Dr Paul Marik, cofondateur et directeur scientifique de la FLCCC, a déclaré à Epoch Times que les recommandations peuvent être modifiées à tout moment en fonction des réactions des patients et du développement des recherches sur de nouvelles options thérapeutiques.
Cependant, pour comprendre les options de traitement, il faut d’abord comprendre les mécanismes par lesquels la protéine spike cause des dommages.
Les pathologies liées aux protéines spike
Le Covid long et le syndrome post‑vaccinal se ressemblent, car les deux affections sont liées à la présence à long terme de protéines spike dans l’organisme. Les symptômes sont également souvent similaires.
L’anomalie à l’origine du syndrome post‑vaccinal est un « dérèglement immunitaire chronique », a déclaré Dr Marik lors de la conférence de la FLCCC.
Les protéines spike peuvent provoquer une inflammation chronique. Des études montrent que l’inflammation peut entraîner un stress cellulaire, causer des dommages, voire entraîner la mort.
Les protéines spike induisent une inflammation chronique en provoquant un dérèglement immunitaire. Elles pénètrent dans les cellules immunitaires, désactivent les réponses immunitaires normales et les substituent par des réponses pro‑inflammatoires.
La réponse immunitaire normale des cellules immunitaires infectées consiste à libérer des interférons de type I, envoyant des signaux aux autres cellules immunitaires afin qu’elles renforcent la défense contre les particules virales. Toutefois, la protéine spike réduit ce signal dans les cellules infectées. Lorsque l’infection devient hors de contrôle, la protéine spike absorbera et endommagera également les cellules saines.
Selon Dr Marik, un aspect important des dommages à long terme causé par la protéine spike est qu’elle inhibe l’autophagie, c’est‑à‑dire le processus par lequel l’organisme recycle les cellules endommagées. Habituellement, lorsque les cellules sont infectées par des particules virales, elles tentent de décomposer ces particules et de les éliminer comme des déchets.
Toutefois, des études sur les virus SRAS‑CoV‑2 ont montré que les processus d’autophagie sont inhibés chez les patients infectés et les protéines spike demeurent présentes plusieurs mois après l’exposition initiale.
« La protéine spike est une protéine vraiment mauvaise », a insisté le Dr Marik. « Elle désactive l’autophagie, c’est pourquoi elle peut rester dans les cellules pendant si longtemps. »
Dysfonctionnement des cellules immunitaires
Le dysfonctionnement immunitaire causé par les protéines spike provoque non seulement une inflammation, mais peut également contribuer à la prolifération de cellules cancéreuses et à l’auto‑immunité.
Des études ont montré que les protéines spike peuvent réduire et épuiser l’action des lymphocytes T et des lymphocytes cytotoxiques naturels (lymphocytes NK, pour « Natural Killer »), or ces deux types de lymphocytes ont pour rôle de détruire les cellules infectées et les cellules cancéreuses.
Les protéines spike peuvent également endommager l’ADN. Des études ont montré qu’elles peuvent inhiber la réparation de l’ADN. Les stress psychologique et environnemental, tels que les rayons ultraviolets, la pollution, les oxydants et bien d’autres facteurs, peuvent endommager l’ADN sur une base quotidienne, nécessitant une réparation continue.
Les dommages causés à l’ADN peuvent augmenter le risque que les cellules deviennent cancéreuses. Ces cellules doivent donc être éliminées pour prévenir la formation de cancers. Cependant, la réduction de l’activité des lymphocytes T et des lymphocytes NK peut entraîner une prolifération incontrôlée de cellules potentiellement cancéreuses.
D’autres dysfonctionnements ont été signalés à la suite de la vaccination, notamment des maladies auto‑immunes.
Ces maladies peuvent être liées au fait que les protéines spike ont un niveau élevé de mimétisme moléculaire, signifiant que les régions des protéines spike ont de nombreuses similarités avec d’autres protéines du corps humain.
Ainsi, lorsque le système immunitaire attaque la protéine spike, en raison des similitudes structurelles, les anticorps produits contre les régions de la protéine spike peuvent également réagir contre les protéines et tissus de l’organisme. Des études ont montré que les anticorps produits contre la protéine spike peuvent également se lier à des tissus de l’organisme et les attaquer.
Fatigue engendrée par la protéine spike
La protéine spike est également liée à un dysfonctionnement des mitochondries. Ces dernières, souvent qualifiées de « centrales électriques des cellules », sont chargées d’extraire l’énergie du sucre que nous ingérons.
Il a été démontré que les cellules neurales humaines en contact avec la protéine spike produisaient davantage d’espèces réactives de l’oxygène, une indication de dysfonctionnement mitochondrial, suggérant une possible réduction de la production d’énergie.
Les personnes souffrant du Covid long et du syndrome post‑vaccinal présentent souvent une fatigue chronique, un brouillard cérébral, une incapacité à faire de l’exercice et une faiblesse musculaire. Ces symptômes sont également souvent observés chez les personnes souffrant de dysfonctionnement mitochondrial, ce qui indique un lien possible.
https://www.epochtimes.fr/apres-une-infection-au-covid-ou-un-vaccin-la-proteine-spike-perturbe-limmunite-de-millions-de-personnes-voici-quelques-traitements-2145419.html
Add a review